Salle de serveur

Chaque système d’exploitation a l’exclusivité du processeur, de la mémoire et de toutes les autres ressources de l’hôte. Nous observons cette configuration lorsqu’un système d’exploitation de type Windows 10 ou Linux est directement installé sur le disque dure via le bios de l’ordinateur. Le problème c’est que vous ne pouvez utiliser qu’une seule instance de Windows sur la ressource physique donnée. Si nous souhaitons partager cette ressource physique entre plusieurs machines, nous devons la virtualiser. Et pour ce faire, nous utilisons un hyperviseur.

Dans ce cas, au lieu de donner l’intégralité du Control de la ressource à un seul System d’exploitation, c’est  l’hyperviseur qui contrôle le processeur et les ressources de l’hôte, allouant alternativement à chaque système d’exploitation ce dont il a besoin et s’assurant que ces systèmes invités (ou machines virtuelles) n’interfèrent pas l’un avec l’autre

Les principaux hyperviseurs du marché sont ceux de VMware (ESX), de Microsoft (Hyper-V), de RedHat (KVM), d’Oracle (Oracle VM) et l’hyperviseur open-source Xen.

Il existe des hyperviseur « de type 2 » (les précédents étant de « type 1 ») qui sont des applications de virtualisation qui s’exécutent non pas directement sur du hardware mais sur un système d’exploitation (Windows, Linux, MacOS).

Les principales solutions de type 2 sont VirtualBox (Oracle/Sun), WMware Workstation (sur Windows et Linux) et Fusion (sur Mac), et l’hyperviseur open-source QEMU.

​Avec cette nouvelle catégorie nous parcourons les sujets suivants :

  1. L’hyperviseur de type 1
  2. L’hyperviseur de type 2
  3. L’installation d’un hyperviseur de type 1 
  4. L’installation d’un hyperviseur de type 2

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